121. Qui se fait brebis, le loup le mange

Ce proverbe date du 15e siècle et est synonyme d’une expression plus récente “Trop bon, trop con”.

Autrement dit, les personnes trop gentilles encourageraient les personnes malveillantes à leur nuire. La brebis représente ici la faiblesse et la soumission alors que le loup est le prédateur qui s’attaque aux personnes vulnérables.

Ainsi, pour résister aux loups, il faudrait se faire loup soi-même.